Traiter des séquelles physiques bien ancrées
Face aux agressions, qu’elles soient d’origines physiques, virales ou émotionnelles, le corps humain révèle une véritable capacité d’adaptation. Cependant certaines agressions sont parfois supérieures aux défenses de l’organisme ce qui entraîne une altération de la vitalité de certains tissus corporels. On parle alors de « mémorisation de l’agression», à l’origine de symptômes indésirables mais bien encrés qu’il est désormais possible de traiter.
Comment ? Grâce une technique innovante
Suite à ce constat, deux masseurs-kinésithérapeutes français nommés Patrice Benini et Daniel Grosjean ont développé une technique qui traque ces traces d’agressions laissées dans les tissus de l’organisme grâce à la maîtrise de micropalpations.
Ces palpations manuelles légères stimulent des mécanismes d’autocorrection qui permettent d’éviter la dégradation des tissus et déclenchent aussi le processus de rétablissement de leurs fonctions. Le praticien doit alors savoir stimuler avec ses mains les zones en fonction du types d’agressions vécues et du type de patient qui peut cependant bénéficier de cette technique tout au long de sa vie.
Une séance de microkinésithérapie : véritable dialogue avec la mémoire tissulaire du patient
Une séance de microkinesitherapie dure entre 30 à 45 minutes et le patient reste généralement habillé. Elle débute par le repérage de ce que l’on nomme « cicatrices pathogènes » puis de l’ensemble des symptômes qui en découlent. Grâce à une stimulation des organes le thérapeute peut en général dater approximativement certains traumatismes.
Ces informations permettent aux patients de mieux situer les origines de leurs pathologies ce qui peut faciliter le traitement et éviter certaines séquelles à venir. Une fois identifiées et localisées, les cicatrices pathogènes sont stimulées par des micropalpations ce qui va déclencher des processus d’auto guérison, de façon quasiment instantanée.